Georges Saint-Bonnet

 « Le Maître de joie »

Georges Saint-Bonnet

Avertissement : dans ce site nous ne nous intéresserons à son parcours qu’à partir de 1951 et à  son œuvre de rachat sur la voie de la Tradition. Nous laisserons ses écrits, pensées et actes antérieurs aux jugements de l’histoire.

 

 

Son histoire: 

Georges Saint-Bonnet (de son vrai nom Louis Pierre Georges Bonnet), né le 31 décembre 1898 à Roanne (Loire) et mort le 17 janvier 1963 dans le 16e arrondissement de Paris, est un homme d’affaires, journaliste, écrivain et haut fonctionnaire puis guérisseur et maître spirituel français.

Georges Saint-Bonnet est issu d’une famille protestante de la Drôme.

Georges Saint-Bonnet avait une connaissance étendue des traditions occultes : celles de l’Inde et celles de l’Égypte, celles du monde arabe et celles du monde juif, celles enfin et surtout du christianisme.

Il renvoyait souvent à elles et citait en particulier Paracelse, Swedenborg, Rudolf Steiner. L’enseignement unitiste était ouvertement lié à la tradition rosicrucienne. C’était un enseignement ésotérique chrétien.

Il a écrit avoir reçu « le gros de son bagage » de trois hommes qu’il considère comme ses maîtres spirituels :
– un moine exorciste, le Père dominicain Henri-Jean Omez.
– un kabbaliste juif
– et, surtout un grand oncle, Philippe Doumergue (1832-1908), pasteur protestant, également théologien et guérisseur. Décédé alors qu’il n’avait que quelques années, le pasteur lui avait transmis sa bibliothèque ainsi qu’un coffre contenant ses enseignements.

Il fonde en 1948 le groupe unitiste, très inspiré par la tradition rosicrucienne.

Tombé malade au printemps 1962, Georges Saint-Bonnet se retire à Luc-en-Diois où il avait grandi.

Il meurt le 17 janvier 1963, son corps repose dans un cimetière familial à Luc-en-Diois.

Son Oeuvre (Développement personnel, ésotérisme)

Initiation et pouvoirs – 1951.
Dépassement et réalisation – 1956.
Pleins feux sur l’occulte – 1963.

 Il publie de 1956 à 1960 les 10 cahiers de l’unitisme  qui constituent le corpus de sa doctrine.

  • N°1 : Comment soigner et guérir sans exercice illégal de la médecine. Principes et procédés de base – 1956.
  • N°2 : Gurdjieff était trop grand pour nous : Comprendre et utiliser l’enseignement de Gurdjieff – 1956.
  • N°3 : Comment choisir son yoga. Précisions sur ce que l’on peut attendre du yoga – 1956.
  • N°4 : Enfin un yoga catholique : Le moyen court, Mme J.B de la Motte Guyon, préface de Georges Saint-Bonnet – 1956.
  • N°5 : Le tarot des Rose-Croix – 1957.   
  • N°6 : Réussir est un devoir. Être quelqu’un ou Comment se forger une personnalité gagnante – 1957.
  • N°7 : Ce que l’on voit sans les yeux, Jacques Lusseyran, introduction et notes de Georges Saint-Bonnet – 1958.
  • N°8 : Guérir à coup sûr – 1958.
  • N°9 : De la Magie sexuelle. Principes et possibilités, dangers, réalisations – 1959.
  • N°10 : Joie, pouvoirs, réussite. D’une technique qui décuple les facultés de l’homme – 1960.

 

Citations

« La mémoire ! Une qualité n’est-ce pas ?
Une bénédiction. Un vrai don du ciel…
Non ! : Un don du diable. Une qualité maudite …
La mémoire est une faculté qui vient d’en bas et qui est liée à la matière.
Elle relève de la quantité et non de la qualité.
Qu’est-elle sinon un fourre-tout, un sac où l’on peut entasser n’importe quoi, le bon et le mauvais, le meilleur et le pire. Elle ne choisit pas. Elle enregistre et elle engrange. Peu lui importe que ce soit du grain ou de l’ivraie, du vrai, du faux, du propre ou du sale… »

Georges Saint-Bonnet – 1951 – Initiation et pouvoirs p83-p84

 

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